Le Boualem et l'épée de Damoclès sur nos têtes

Par Réda Allali

  Vous serez sans doute ravis d’apprendre que, selon des sources officielles, le gouvernement “envisage de mettre fin à l’état d’urgence sanitaire”. Zakaria Boualem ne s’emballe pas : il sait bien, le bougre, qu’avant le passage à l’acte, la route risque d’être très longue. Malgré le fait que depuis deux semaines, les mêmes sources officielles n’annoncent plus aucun décès, bien entendu. Abandonner cet état d’urgence fumeux, qui offre des possibilités infinies pour contrôler les gens, les contraindre à des démarches absurdes, n’est pas chose facile. C’est contraire à la nature…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter