La première règle du Maroc est : ne pas mal parler du Maroc. Après tout, nos dirigeants sont capables, au fait des réalités de la société. Les prix augmentent et la population s’appauvrit mais personne n’y trouve rien à redire. La crise est là mais si nos dirigeants n’en parlent pas, peut-être que personne ne pointera l’évidence. Pourtant, si la gronde est principalement virtuelle, elle est tout de même présente. Sans doute par excès de timidité, nos décideurs n’y répondent pas. Ils laissent une nouvelle génération d’attachés 2.0 parler à…