Un roman national au goût d’inachevé

Par Réda Dalil

L’impression d’un soufflet qui retombe. Une désillusion. L’année avait pourtant bien commencé. Un nouveau gouvernement, le Covid à bout de souffle, un peuple libéré des entraves du confinement, et sans doute un début d’euphorie, économique, culturelle. Et puis, patatras, récidive du virus, propagation d’Omicron, une économie qui se détraque sous l’effet de l’inflation et de la guerre en Ukraine. L’incapacité d’un gouvernement de “managers” à protéger le Marocain des effets de la polycrise rompt le cours d’une belle épopée. Un pacte de confiance né dans les marges de la parenthèse…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter