Dimanche dernier, en fin d’après-midi, Zakaria Boualem a plongé dans les ténèbres. Comme une bonne partie de ses compatriotes, il avait fini par développer, malgré son cynisme, une certaine confiance en cette équipe, qu’il jugeait — le bougre — capable de le propulser dans les lumières de la félicité. Car, c’est bien connu, le cerveau humain sécrète de l’espoir mécaniquement. Hélas, la défaite a déployé ses ailes funestes et elle est venue se poser sur nos têtes, une fois de plus. Il lui a fallu de longues heures, consacrées…