Hassan Baraka, athlète de l’extrême : “Je ne suis pas un super-héros”

Smyet bak ?

Abdeslam.

Smytet mok ?

Nouzha.

Nimirou d’la carte ?

Je préfère ne pas le donner.

Nager dans un froid extrême, c’est du masochisme ?

C’est une quête de soi et une recherche de dépassement. À chaque défi j’ai cherché à me dépasser un peu plus. Par exemple, j’ai traversé le détroit de Gibraltar en près de 4 heures, puis j’ai fait le double dans le golfe d’Aqaba. Quand j’ai vu que c’était assez simple dans une eau tempérée, je suis passée à l’eau glacée, c’est comme ça que je me retrouve.

Vous…

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