Dans l’opposition, le PJD ressort les dossiers gouvernementaux restés en suspens. En premier lieu, celui des hydrocarbures. De son côté, le RNI reproche à son allié d’hier sa persistance à contester les résultats des élections du 8 septembre.
L’hostilité entre le PJD et le RNI n’a pas cessé en cette entame du nouveau mandat. Chef du groupe PJD à la Chambre des représentants, Abdellah Bouanou incarne ce rapport conflictuel. Le médecin de profession n’en a cure des “appels au calme” du leader de sa formation, le revenant Abdelilah…
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