Smyet bak ?
Ahmed Belhoussain, paix à son âme.
Smyet mok ?
Fatna bent Mhamed.
Nimirou d’la carte ?
Deux lettres précèdent le chiffre 7395 (rires).
Vous êtes-vous remis de la gifle du 8 septembre, où le PJD a été classé huitième du scrutin ?
Le PJD a malheureusement fait l’objet d’un ciblage insistant depuis 2016 et le blocage qui a suivi. Toutes nos réformes ont été combatu, jusqu’aux lois électorales de 2021. Depuis au moins 2002, il y a toujours eu consensus sur la révision de ces lois. Mais en 2020, il y a eu la logique de forcer les amendements, même si nous étions leaders de la majorité.
Insinuez-vous que ces amendements sont la vraie source de votre débâcle ?
C’est assurément le cas pour trois amendements principaux. Le nouveau quotient électoral a nui au choix démocratique. Aux communales, le seuil électoral a été supprimé, et les nouvelles règles d’incompatibilité entre députation et mandat local visaient principalement les communes dirigées par le PJD. L’argent a coulé à flot en août dernier. Nous avons…