Il faut commencer cette page sans plus de formalité par une standing ovation. Faites comme Zakaria Boualem : détendez-vous et applaudissez avec enthousiasme notre équipe de football en salle. Elle s’est hissée jusqu’en quart de finale de la Coupe du Monde, les amis, elle est donc glorieuse. Elle s’est inclinée avec honneur un but à zéro contre les Brésiliens, et revient au pays pleine du noble sentiment du devoir accompli, le cœur gonflé et le regard fier. Le Guercifi exploserait tous ses standards de mauvaise foi s’il se présentait comme un…