Mririda N’ait Attik, une poétesse amazighe dans l’ombre de sa légende

Pour les uns, elle est une légende amazighe, une prostituée devenue le fruit d’un fantasme colonial. Pour d’autres, elle est une poétesse au talent époustouflant, dont le nom est trop méconnu. Entre mythe et réalité, immersion dans les secrets de l’histoire des “Chants de la Tassaout”, de Mririda N’ait Attik.

Par

Mririda N’ait Attik,1940
Ce portrait supposé de la poétesse Mririda N’ait Attik date de 1940. Crédit: DR

On m’a surnommée Mririda, Mririda, / Mririda, l’agile rainette des prés…” C’est en ces vers qu’elle se présente. Sa mystérieuse et légendaire histoire est celle d’une jeune Amazighe de la Haute Tassaout, au cœur du Grand-Atlas, qui se prostituait dans…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter