Nous sommes en 2004. Les Marocaines poussent un hourra de soulagement et de fierté. L’avenir des femmes, mais aussi de la famille marocaine, peut être envisagé avec espoir. Grâce à la réforme de la Moudawana, le mari de Sanaa ne peut plus la quitter sans passer par la case tribunal. Le père de Hanane ne peut plus la marier à l’âge de 15 ans sans passer devant la justice avec un argumentaire précis et un dossier médical. Grâce à la Moudawana, Khadija devient enfin la “coresponsable” de ses deux enfants….