Comme tout le monde, Zakaria Boualem a pu lire sur les réseaux sociaux un appel vibrant à sauver notre industrie touristique, que Dieu l’assiste. Dans un petit texte solennel partagé par de nombreux internautes, on nous expliquait qu’il fallait réserver dans nos hôtels, voyager dans nos transports, multiplier les pourboires et acheter des babouches.
Vous connaissez le Guercifi : c’est un…“La plupart de nos établissements devraient d’ailleurs ajouter un bloc opératoire à leurs nobles bâtiments, puisque seul un don de rein peut financer un séjour chez eux”