Il s’agit d’une affaire enclenchée en 2008, suite à une plainte de l’Association sahraouie pour la défense des droits de l’homme (ASADEH) contre le chef du Polisario pour génocide, assassinat, détention arbitraire, tortures, disparitions forcées et terrorisme.
Le dénommé Brahim Ghali est convoqué le 1er juin prochain pour répondre d’une autre plainte, celle déposée contre lui par le blogueur Fadel Mihdi Breica pour détention arbitraire, torture et crimes contre l’humanité, rappelle EFE.
Atteint du Covid-19, le chef du Polisario avait été admis dans un hôpital espagnol mi-avril sous une fausse identité algérienne. Plusieurs de ses victimes, qui avaient déposé de nombreuses plaintes à son encontre, réclament aujourd’hui son arrestation et son jugement.
(avec MAP)