Isaac Charia a “tué son père” selon certaines analyses œdipiennes. Lui s’en défend. Premier successeur de Mohammed Ziane à la tête du Parti marocain libéral (PML), il parie sur la carte des jeunes et promet une représentation qualitative lors de la prochaine mandature. L’avocat…
La suite de cet article est réservée aux abonnés.
Soutenez un média indépendant et exigeant
- Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
- Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
- Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Déjà abonné ?
Se connecter