Cette semaine a été chargée, les amis. C’est bien simple : le football a failli disparaître, tout simplement. Comme ça, un dimanche soir de ramadan, en soirée confinée, tout un pan de l’histoire s’est retrouvé menacé d’engloutissement dans le grand néant. Al hamdoulillah, cette épouvantable menace s’est dissipée dès le mardi, et les putschistes ont été défaits dans le déshonneur, comme un vulgaire escadron de parachutistes avinés au petit matin dans un pays du Tiers-monde. Zakaria Boualem a décidé, ici même, de relater ces deux jours qui auraient pu tuer son…