À Casablanca, au début des années 2010, entre sa libération et son départ pour la Syrie, Fatiha Mejjati ruminait une colère sourde contre les États-Unis et les nations arabes.
À l’époque, nous l’avions rencontrée plusieurs fois à son domicile. Confidences.
Les fruits, au début du repas”, dit-elle, découpant avec des gestes précieux des fruits de saison, selon un commentaire classique d’un hadith. Nous sommes en 2010. À l’approche de la cinquantaine, Fatiha Mejjati accueille peu de monde. Quelques années auparavant, elle avait été assaillie par les questions des journalistes.
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