Il faut que Zakaria Boualem vous fasse une confession, les amis. Un truc qu’il n’aurait jamais pensé écrire, mais qui s’impose à lui avec l’autorité d’un barrage de gendarmes. Quelque chose qu’il ne peut plus nier. Figurez-vous qu’il a pris beaucoup de distance avec le foot. Voilà, c’est dit, et c’est une révolution dans son emploi du temps.
Comment en est-il arrivé là, le bougre? Comment un…« Un match de Botola sans public, c’est comme un couscous sans semoule. Sans spectateurs, il n’y a plus de sens, c’est tout”