Autant vous prévenir tout de suite, cette page est une ode à notre noble Botola. Oui, ce championnat boiteux, un peu louche, au niveau de jeu incertain et à l’organisation chaotique. Zakaria Boualem l’aime du fond du cœur, et il a décidé de lui consacrer cette page, en plein accord avec lui-même. Certes, le fait que le Raja ait été sacré champion à la dernière minute de la dernière journée n’est sans doute pas étranger à cette poussée de sentimentalisme, mais, après tout, c’est son droit. Un observateur étranger pourrait…