Face à la pandémie, les professionnels de l’art tâtonnent, entre manque de visibilité et adaptation de leur business pour ne pas couler. Bravant la crise, les grands maîtres de la peinture se vendent toujours aussi bien, mais on ne peut en dire autant de la création contemporaine.
Frappé de plein fouet par la pandémie, le marché de l’art tâtonne. Si certains disent garder espoir – sans pour autant fournir des indicateurs palpables –, d’autres l’avouent franchement: la situation est pour le moins critique. Le semblant de regain d’activité est certes salvateur, mais…
Soutenez un média indépendant et exigeant
- Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
- Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
- Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ?
Se connecter