Il est grand temps de présenter nos excuses. Oui, c’est bien Zakaria Boualem qui l’affirme, l’heure est venue de revoir nos certitudes. Longtemps, nous nous sommes plaints d’être considérés, dans cette noble contrée, comme une quantité négligeable. Nous avons ironisé à l’infini sur notre statut de locataires, une manière d’expliquer que nous payons nos impôts pour une simple occupation du sol, sans aucune forme de service associé, et sans jamais être consultés sur l’organisation de notre logis collectif. Nous pensions, bêtement, ne…