C’est un Zakaria Boualem abattu qui vous accueille cette semaine à l’extrémité de cet estimable magazine. Il a encore dû faire ses adieux à un ami proche, parti refaire sa vie sous des cieux plus accueillants, et ce nouveau départ l’a plongé dans la morosité. Il ne se passe plus un mois sans que ce genre de scène ne se produise, c’est une véritable hémorragie. Il est profondément inutile de revenir sur les raisons qui poussent de nombreux Marocains –même en situation confortable– à mettre les voiles: elles ont déjà…