Sans verser dans le chauvinisme ou le corporatisme féminin primaire, dans le petit et très restreint milieu de l’électro issu du Maghreb ou du Machreq, il y a des artistes femmes dont le talent est inouï. Elles ont moins de visibilité et de plateformes d’expression que leurs confrères, mais n’en déméritent pas moins. A l’occasion du festival Moga, qui s’est tenu du 11 au 13 octobre à Essaouira,…