Saaid Amzazi et Anas Doukkali ont mêlé les atermoiements aux menaces en pensant que le temps aurait raison des ardeurs des médecins en herbe. Incapables de détecter les signaux faibles de la gronde, ils ont laissé entendre, une fois le boycott des examens acté, qu’une cinquième colonne d’islamistes radicaux attise le mouvement étudiant. Le ministre de l’Education assume, du reste, avoir eu recours à des moqaddems pour pousser les parents des boycotteurs à raisonner leurs enfants grévistes. Ces méthodes douteuses…