J’apprends tout juste la nouvelle, avec ce qu’il se doit de fierté. Aux annales glorieuses de notre lutte contre l’hydre sioniste, s’ajoute une nouvelle victoire, à mettre quelque part entre Zallaqa et Stalingrad. Une certaine Simona Guzman, danseuse du ventre de son état, renonce finalement à tenir son festival de danse orientale à Marrakech, brillamment vaincue par un mélange d’activisme ultra-minoritaire, de paperasses et de chicaneries diverses. J’imagine que la poignée de militants à l’origine de l’affaire doit…