Pierre Moscovici ne manque vraiment pas d’air. Aux Assises de la fiscalité, le 4 mai, devant tout ce que compte le Maroc comme décideurs, le commissaire européen a tranquillement expliqué que pour sortir de la liste grise des paradis fiscaux, le royaume devait revoir sa fiscalité à l’export et dans les zones franches. Rappelons tout de même que la fiscalité allégée que l’on accorde aux multinationales attire les IDE et engendre son lot d’emplois, surtout au profit des jeunes. Quand PSA décide de produire 100.000 véhicules par an à Kénitra,…