Aussi longtemps qu’il s’en souvienne, Zakaria Boualem a entendu dire que le tourisme, chez nous, était une priorité. Forts de cette orientation constante et limpide, nous devrions, aujourd’hui, nous positionner parmi les cadors mondiaux de ce secteur. Grâce à nos plages chatoyantes, notre cuisine succulente et notre hospitalité légendaire, ils devraient être des hordes à se presser à nos frontières pour nous abreuver de devises puissantes qui nous feraient le plus grand bien. Or, d’après les spécialistes du secteur, il n’en est rien. Notre homme a donc enquêté, puisant sur…