A intervalles plus ou moins réguliers, notre paisible contrée est secouée de spasmes numériques de forte intensité. Tous ensemble, nous convulsons en public pendant quelques jours, avant de retourner benoîtement à nos activités, écrasés par les divers crédits. Pour Zakaria Boualem, ce genre de moments est important: il faut les documenter sans la moindre hésitation, avec précision et abnégation, et c’est une noble mission. Cette fois, c’est la visite papale qui nous a donné l’occasion d’exhiber au grand jour nos crispations. Voici l’affaire. Pour rendre hommage au pape, une cérémonie…