Les Algériens sont dans la rue. Depuis l’annonce de la cinquième candidature de leur président, ils manifestent publiquement leur mauvaise humeur à grands coups de sarcasmes déployés à l’air libre. Noblement installé devant son écran, Zakaria Boualem a suivi cette affaire avec le plus grand intérêt. Il faut savoir, chers amis, que si vous trouvez le Guercifi susceptible et grognon, il n’est qu’un petit joueur comparé à son voisin de l’est.
…“C’est apparemment devenu une évidence: les Arabes ont le choix entre le statu quo et la Syrie”