C’est un Zakaria Boualem frigorifié qui s’adresse à vous aujourd’hui. Depuis une semaine, il s’est greffé sur le dos ce qu’on appelle chez lui un bourabeh. Comprenez, une couverture en laine qui gratte et qu’on a jugé utile, pour une raison inconnue, d’orner de petites paillettes qui piquent. Comme tous les ans, il peste contre cette vague de froid, qu’il perçoit comme une sorte de félonie ourdie par des gens qui lui veulent beaucoup de mal. Un esprit rationnel pourrait lui faire remarquer que les températures actuelles n’ont rien d’incongru…