La lettre envoyée par le président directeur général de la Royal Air Maroc à ses pilotes est un vrai cas d’école. Un exemple qu’on devrait enseigner dans les grandes écoles de commerce pour montrer ce qu’un dirigeant ne doit surtout pas faire : annoncer publiquement son échec, ne pas l’assumer, en jetant toute la responsabilité sur ses salariés… Des salariés qu’il traite de tous les noms, les jetant à l’opprobre populaire (voir notre article). Abdelhamid Addou a été nommé à la RAM début 2016 avec l’ambition affichée de doter la…