Dans quelques jours, la Coupe du Monde sera terminée, il faudra alors prévoir un accompagnement au Boualem pendant cette période de sevrage, il risque de perdre pied. Au moment où nous écrivons ces lignes, le bougre angoisse déjà à l’idée de se retrouver privé de ce qui constitue, pour lui, le plus grand spectacle de la planète. Dans un monde parfait, cette compétition devrait durer toute l’année, c’est la seule façon de pouvoir accepter ce qui se passe ici-bas sans se mettre à déprimer. Oui, c’est l’opium du peuple, mais…