Zakaria Boualem vous doit des excuses, les amis. Il vous avait annoncé une qualification glorieuse, il s’y était même engagé alors qu’il n’est qu’un simple supporter. Comme un vil politicien, il a multiplié les promesses, et nous voilà éliminés en deux matchs. Il pensait naïvement qu’il existait une dose maximale de malheur que pouvait endurer un supporter, et que notre heure était enfin venue de festoyer. Funeste erreur ! Soit cette limite n’existe pas, ce qui constitue une perspective effrayante, soit nous ne l’avons pas atteinte, et c’est à se demander combien de…