Zakaria Boualem s’apprête à vivre une fin de semaine exceptionnelle. Il y a l’Aïd le petit qu’on attend depuis un mois, qui coïncide avec le démarrage d’une Coupe du Monde qu’on attend depuis quatre ans, et un match de l’équipe nationale qu’on attend depuis deux décennies, c’est trop pour une seule journée. Imaginez un peu qu’au plaisir phénoménal d’un petit déjeuner vienne se superposer celui d’une glorieuse victoire contre les Iraniens : notre héros pourrait bien se retrouver submergé d’un tel volume émotionnel qu’il ne saurait comment festoyer. On pourrait bien…