Les réseaux sociaux se mobilisent pour faire pièce à Aziz Akhannouch. Caricatures, vidéos humoristiques ou d’insultes… tout y passe pour faire du ministre de l’Agriculture le coupable désigné dans une campagne de boycott populaire. Les quelques voix qui tentent d’apporter de la contradiction à ce lynchage général sont tout de suite accusées d’être arrosées par les nombreux billets bleus d’un chef de parti au compte bien garni. S’il faut écouter le message envoyé à travers cette campagne, comprendre le malaise qu’elle exprime, il faut tout autant se méfier des vindictes…