Imaginez que le Maroc soit un paquebot. L’exercice n’est pas de TelQuel mais de Hassan II. Pour conduire un paquebot, le plus important est de maintenir le cap, disait-il à ses proches collaborateurs.Si ces derniers décidaient d’en changer, il fallait qu’ils soient sûrs de la pertinence de leur choix. Car pour changer, il faut d’abord ralentir, puis faire un grand tour et enfin prendre une autre direction. Si cela s’avère peu judicieux, pour rectifier, catastrophe ! Beaucoup trop de manœuvres sont alors nécessaires, ne serait-ce que pour revenir à la position…