Le Conseil national du PJD a élu, dimanche à la clôture de ses travaux, une nouvelle direction.
Les figures de proue rempilent. C’est notamment le cas des ministres Mostafa Ramid, Mustapha El Khafli, Jamila Mossalli, Aziz Rabbah, Bassima Hakkaoui et Abdelkader Amara.
Les ministres PJD siègent à la direction ès-qualité, puisque l’amendement de l’article 37 des statuts internes qui devait leur barrer la route n’a pas été validé par les instances du parti.
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Parmi ceux qui rempilent, on retrouve aussi Abdelaziz Omari, maire de Casablanca, Mohamed Hamdaoui, ex-président du MUR, l’avocat Abdessamad Idrissi, Khalid Rahmouni et Soumaya Benkhaldoune.
Les nouveaux venus, eux, se comptent sur les doigts d’une seule main. C’est le cas de Mohamed Taouil, Naoufal Naciri, Mohcine Moufidi ou encore Meryem Boujemaâ.
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Des surprises, il y en a eu aussi. C’est surtout le cas pour Abdelali Hamieddine et la députée Amina Mae El Ainine, les plus fervents partisans de Abdelilah Benkirane, écartés de la nouvelle direction.
Saad Eddine El Othmani, pour rappel, sera secondé par Slimane El Omrani et le ministre Mohamed Yatim, élus respectivement aux postes de premier et de deuxième vice-secrétaires généraux.
Abdelhak El Arabi, lui, a été élu au poste de directeur général du PJD.
Driss Azami Idrissi, ancien ministre du Budget et actuel maire de Fès, prend la tête du Conseil national.
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