Cette semaine dans le numéro 659 de TelQuel :
Benkirane et les femmes. Chronique d’un désamour
A l’occasion de la journée de la femme, le 8 mars, un collectif d’associations organise une marche pour dénoncer les propos de Abdelilah Benkirane et la politique de son gouvernement en matière de promotion des droits de la femme.
Entre le patron du PJD et le mouvement féministe marocain, il existe une tension durable et une relation très compliquée. Le référentiel idéologique de Benkirane, ses sorties provocantes et ses déclarations, considérées comme machistes, ont toujours suscité l’indignation des militantes féministes.
La lenteur des réformes promises en matière de lutte contre les discriminations n’a pas arrangé les choses. Une longue histoire de méfiance, et parfois d’incompréhension, et qui est loin de prendre fin.
Histoire. Des « Chouris » et des hommes
Quelques mois après l’indépendance, des affrontements violents opposent le Parti de l’Istiqlal et son rival d’Al Choura (PDI). Assassinats, enlèvements et torture ont marqué cette période sombre de l’histoire du Maroc.
Mohamed Mouftakir : « Le cinéma doit toujours aller plus loin »
Onirique, symbolique et intime, l’univers du réalisateur dénote et intrigue au sein du cinéma marocain. Dans cet entretien, il revient sur ses inspirations, mais aussi sur les difficultés à faire de bons films au Maroc.
Patrimoine. Notre passé glorieux au musée
L’exposition «Le Maroc médiéval» ressuscite l’âge d’or de l’Occident musulman au musée de Rabat, après avoir connu une affluence record à Paris. Visite guidée entre les trésors de l’histoire.
Centrale Laitière : un cadeau empoisonné ?
Deux ans après la prise de contrôle de Centrale Laitière par Danone, celle-ci semble rencontrer de plus en plus de difficultés. A l’origine de cette situation, une conjoncture peu favorable et des décisions pas toujours judicieuses.
Abdallah Laroui. De mémoire d’historien
Admiré et critiqué à la fois, l’historien et intellectuel revient sur le devant de la scène. Dans son dernier livre Pensées matinales, il dissèque sans langue de bois le contexte politique des années 2000 au Maroc.
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