Quel impact auront les deux nouvelles unités de production énergétique sur le développement de Taqa Morocco ?

La mise en service des deux unités de production 5 et 6 a et aura un impact favorable sur nos agrégats financiers, aussi bien au cours de cette année que pour les prochains exercices financiers. Par ailleurs, 2014 ne sera pas une année pleine de production vu que l’unité 5 a commencé le 15 avril tandis que l’unité 6 n’a démarré qu’à partir du 7 juin dernier. En ce qui concerne nos perspectives d’avenir, notamment en termes de projets, nous sommes à l’écoute des opportunités sur le marché énergétique aussi bien marocain qu’africain. Ce qui est certain, c’est que nous avons les ingrédients internes suffisants, que ce soit en termes d’expertise ou de capital humain et financier, pour assurer notre croissance.

Tout au long des années passées, nous avons développé notre expertise en matière de levées de fonds. Nous avons déjà procédé à ce type d’opération pour financer les deux unités de production 5 et 6. Nous comptons également le faire pour les projets à venir. Nos levées de fonds se font la plupart du temps auprès d’institutions internationales et des banques commerciales à l’échelle mondiale, ce qui nous permet d’avoir des taux compétitifs. Il faut dire aussi que notre situation financière actuelle est saine et nous permet de lever des fonds en toute tranquillité.

Comment Taqa Morocco compte se déployer en Afrique ?

Le potentiel de développement du secteur de l’énergie en Afrique est très important. En tant qu’acteur de ce marché, nous allons être des compétiteurs en fonction des opportunités qui se présentent à nous. Nous estimons que nous avons, aujourd’hui, toute l’expérience requise aussi bien en matière de charbon qu’en matière de gaz pour assurer la réussite de notre expansion en Afrique.