OCP, le pionnier
Le groupe OCP dispose de l’une des stratégies RSE les plus ambitieuses au Maroc. De la Fondation OCP à l’Université Mohammed VI Polytechnique, en passant par la Fondation Phosboucraa, toutes les entités relevant du leader mondial du phosphate sont engagées aussi bien sur le plan environnemental que social, dans le cadre d’une stratégie RSE transversale.
Au fil des années, le groupe s’est distingué par plusieurs actions. Parmi elles, 1337, la première formation exclusivement informatique, entièrement gratuite, ouverte 24h/24 et 7j/7 et accessible à tous, sans pré-requis de diplôme ou de connaissance technique.
Autre action menée par l’OCP, le programme Act4community, visant à encourager le développement des compétences et le volontariat des collaborateurs du groupe, en leur permettant de donner de leur temps et de leur expertise aux différentes communautés qui forment l’écosystème.
Banque populaire, les jeunes d’abord
Au cœur de la stratégie RSE de la Banque populaire (BCP), le capital humain a une place de choix. Le leadership de la BCP favorise une égalité en termes de genre, avec un positionnement au milieu de la pyramide des âges, en l’occurrence de 25 à 49 ans. La moyenne d’âge des employés de la Banque, 38 ans, n’est donc pas un hasard, mais le résultat d’une politique visant à favoriser les jeunes en leur permettant d’intégrer très tôt l’institution.
En effet, la Banque populaire privilégie le recrutement des jeunes diplômés en mettant le cap sur les stages de fin d’études proposés aux futurs diplômés. En outre, la BCP dispose d’un processus d’accompagnement s’étalant jusqu’à la retraite. Pensée par la direction, cette gestion de carrière permet non seulement l’insertion des jeunes, mais aussi la capitalisation sur l’expérience des séniors.*
AtlantaSanad, au nom de l’entraide
Pour la compagnie d’assurance AtlantaSanad, l’axe RSE est un “élément de plus au service de ses collaborateurs offrant ainsi l’opportunité à ceux qui le souhaitent de s’épanouir en œuvrant pour des causes sociales et sociétales”.
Dans ce sens, plusieurs actions ont été entreprises au fil des années, comme la sensibilisation à la protection de l’environnement des collaborateurs à travers l’organisation des formations et des conférences animées par des intervenants spécialisés.
Dernière action en date : le lancement d’une plateforme 100% solidaire, intitulée “Nt3awnou”. Cette plateforme vise à mettre en relation les associations et les bénévoles pour soutenir les uns et activer l’engagement des autres. Grâce à cet outil innovant, des centaines d’associations ont bénéficié de l’aide de milliers de bénévoles, permettant la réalisation de nombreuses actions caritatives et solidaires.
Cosumar, favoriser l’écosystème
Cosumar envisage la RSE différemment. Le pionnier de la production sucrière au Maroc cherche à intégrer toutes les parties prenantes de son écosystème sur l’ensemble de la chaîne de valeur, de l’agriculteur jusqu’au consommateur final.
Dans ce sens, Cosumar multiplie les conventions de partenariat. La première convention a été signée avec le groupe Attijariwafa bank pour la mise en place d’un dispositif de soutien et d’accompagnement aux TPME œuvrant dans ses écosystèmes. La seconde convention a été conclue avec la CGEM pour le renforcement du partenariat Grandes entreprises-PME. Une troisième convention a été signée avec le Crédit Agricole du Maroc pour le soutien de la filière sucrière, le programme d’alphabétisation et la promotion de l’éducation.
Une stratégie gagnante : le groupe a été désigné sept fois Top Performer RSE par l’institut VIGEO-IRIS, leader européen de la notation extra-financière.
Procter & Gamble, éco-friendly
Procter & Gamble dispose d’un programme RSE intitulé “Force for good”. A travers ce programme, le groupe présent au Maroc multiplie les actions sociales et sociétales. Dernière en date, un partenariat avec la Banque alimentaire, relatif à une action d’aspect social et environnemental au profit de Dar Al Atfal à Sidi Bernoussi.
Cette initiative avait pour objectif la création d’un espace vert à travers la plantation d’une cinquantaine d’arbres fruitiers et oliviers, ainsi qu’un jardin potager afin de contribuer à la sécurité alimentaire de l’établissement.
A partir de 2024, ce projet permettra la récolte de 1,25 tonnes d’olives et trois tonnes d’agrumes, ainsi que d’autres fruits et légumes. Avec la participation d’une cinquantaine de volontaires, un atelier jardinage a été organisé pour sensibiliser les participants.