Respect de l’environnement : une culture historique
Epson a été fondée en 1942 à Suwa, une ville qui se trouve dans le riche environnement naturel de la préfecture de Nagano au Japon. La coexistence harmonieuse avec les communautés dans lesquelles l’entreprise a été implantée a toujours été une pierre angulaire de la vision d’Epson, même si ses activités se sont étendues à l’ensemble du monde, sa culture du respect de l’environnement n’a jamais faibli. D’ailleurs en 1988, Epson est devenue la première société au monde à annoncer qu’elle éliminait de ses activités les chlorofluorocarbones (CFC) qui attaquent la couche d’ozone.
La technologie comme levier de transition écologique
Epson considère les technologies comme un levier de transition écologique. Ce rôle catalyseur peut être concrétisé grâce à des produits conçus pour utiliser moins de ressources lors de leur production et leur utilisation, pour durer plus longtemps, pour être plus facilement réparables, réutilisables et recyclables.
Dans cette perspective d’engagement écologique, le fournisseur japonais des solutions de l’impression vient de rendre public son rapport de développement durable 2023.
Epson s’est engagé à investir 770 millions d’euros pour réaliser la transition vers des sources d’énergie renouvelable et réduire ses émissions mondiales. L’objectif d’Epson est d’atteindre un bilan carbone négatif et d’éliminer l’utilisation des ressources souterraines non renouvelables telles que le pétrole et les métaux à l’horizon 2050.
Transition écologique : les réalisations d’Epson
Concrètement, le constructeur japonais a réussi dans la concrétisation de sa feuille de route de transition écologique à travers :
1. Optimisation des palettes pour réduire les émissions. Epson a augmenté son remplissage des conteneurs de 9 % au cours de l’exercice 2022, en augmentant les m3 expédiés sur toutes les palettes sortantes.
2. Réduction des émissions de GES. Entre les exercices 2017 et 2022, le constructeur japonais a réduit de 51 % sa consommation de gaz naturel et ses émissions dans ses sites européens.
3. Décarbonation de ses sites. La filiale allemande d’Epson a déménagé son siège social dans un nouvel immeuble à Düsseldorf, où sa consommation d’énergie par m2 est inférieure de 75 % à celle des anciens locaux.
4. Epson passe à une électricité 100 % renouvelable sur tous ses sites dans le monde. Depuis décembre 2023, toute l’électricité utilisée sur les sites du groupe Epson dans le monde provient de sources renouvelables. Epson est ainsi la première des entreprises japonaises ayant rejoint l’initiative RE100 à achever la transition vers l’électricité renouvelable sur l’ensemble de ses sites dans le monde, y compris au Japon.
5. Diversité, égalité et inclusion. L’entreprise a renforcé davantage son engagement en faveur de la diversité, de l’égalité et de l’inclusion (DE&I) en définissant sa stratégie pour le développement de ses objectifs, de ses indicateurs et de sa gouvernance DE&I
6. EcoVadis. Durant l’année fiscale 2022, Epson a obtenu pour la troisième année consécutive, le statut Platinum. Il s’agit d’une distinction décernée par la plateforme indépendante EcoVadis, et qui récompense les performances RSE.
À noter que le rapport de développement durable 2023 d’Epson est téléchargeable en intégralité en ligne.
Baromètre de la réalité climatique 2023 d’Epson sur le Maroc
L’année 2023 marque la troisième édition du Baromètre de la réalité climatique d’Epson. Il présente des mises à jour et de nouvelles perspectives sur la manière dont les attitudes évoluent ou non au fur et à mesure que la crise climatique se déroule.
Le baromètre de cette année a été considérablement élargi. Il touche désormais plus de 30.000 personnes issues de 39 pays, dont le Maroc. Selon les résultats du baromètre d’Epson :
– 60,5 % des Marocains pensent que la hausse des prix est l’un des plus grands problèmes auxquels le monde est confronté aujourd’hui, ce qui le place en première position devant le changement climatique (#2, 58.9 %) et la pauvreté (#3, 38.4 %).
– 67,8 % des Marocains sont optimistes quant à la possibilité d’éviter une catastrophe climatique au cours de leur vie ; 68,4 % des membres de la génération COP sont optimistes, soit un peu plus que les personnes âgées de 30 ans et plus (67,6 %).
– 12,6 % des Marocains sont pessimistes quant à la possibilité d’éviter une catastrophe climatique au cours de leur vie ; 9,5 % de la Génération COP est pessimiste, moins que la proportion des personnes âgées de 30 ans et plus qui sont pessimistes à ce sujet (13,6 %).
– En ce qui concerne les 12 prochains mois, les principaux sentiments des Marocains à l’égard du changement climatique sont l’espoir (33,3 %), l’optimisme (31,9 %), le positivisme (27,3 %) et la crainte (23,8 %).
– La proportion de personnes au Maroc qui sont optimistes quant à la possibilité d’éviter une catastrophe climatique au cours de leur vie est passée de 64,1 % dans le Baromètre 2022 à 67,8 % dans le Baromètre de cette année.