Selon Hespress, l’Association marocaine d’aide aux migrants en situation précaire, basée à Oujda, supervise activement les dossiers de ces jeunes, originaires de diverses villes, notamment Fès, Safi, Tétouan et Ouarzazate.
Cette initiative, menée en deux phases, intervient après que les individus concernés ont complété leurs peines de détention, incluant des périodes en détention administrative prolongée.
Outre les jeunes relâchés, l’association a également signalé que des centaines de Marocains étaient toujours en attente de transfert, retenus par des mesures administratives en Algérie, et confrontés à des obstacles techniques et procéduraux.
Ce transfert survient alors que l’association continue de recevoir des dossiers complexes impliquant plus de 480 détenus et disparus, et gère le rapatriement de corps, incluant ceux de deux jeunes filles, depuis les morgues algériennes.