Selon Alyaoum24, Ouahbi a ensuite abordé la question des droits humains, critiquant la manière dont certains pays les utilisent pour avancer des agendas politiques sous couvert de légitimité. Il a discuté de sa propre expérience lors d’un dialogue avec le Haut-commissaire aux droits de l’Homme à Genève, où il a souligné la politisation de ces enjeux.
Le ministre a aussi parlé des implications de l’intelligence artificielle (IA) dans les processus électoraux. Selon lui, l’IA pourrait bientôt contrôler non seulement la surveillance des droits humains, mais aussi influencer directement les élections en manipulant les discours des candidats. Cela pourrait mener à une situation où les électeurs basent leurs décisions sur des informations façonnées par l’IA, sans en être conscients.
Enfin, Ouahbi a souligné l’importance de la protection de la vie privée, arguant que l’État doit défendre la sphère privée des citoyens tout en limitant les intrusions injustifiées, surtout dans un contexte où les libertés publiques et privées sont de plus en plus encadrées par des technologies avancées.