Selon Hespress, dans sa déclaration, le Conseil supérieur de la communication audiovisuelle a précisé que les plaintes, qui ne contrevenaient pas aux normes légales et réglementaires actuelles, concernaient principalement des œuvres fictives. Les séries et programmes incriminés, tels que « Ila Daq Al-Hal », « Hikayati », « Oulad Yezza », et « Ach Hada », ont été jugés comme reflétant les choix artistiques de leurs créateurs sans transgresser les limites de la liberté créative.
Le Conseil a également abordé des accusations spécifiques, comme la présence de boissons alcoolisées dans « Ila Daq Al-Hal », jugée non-promotionnelle. Dans « Hikayti », une scène de baiser a été jugée par la HACA comme non-provocatrice et exempte de sous-entendus sexuels. Concernant « Oulad Yezza », les critiques sur une prétendue insulte à la profession enseignante ont été rejetées, la série étant reconnue pour son ton humoristique et comique.
Par ailleurs, la HACA a défendu la série « Ach Hada » pour son usage du dialecte local, considéré comme un reflet de l’usage linguistique courant sans obligation de diffuser dans une langue spécifique.