Le ministre a justifié cette exception par une dérogation approuvée par le chef du gouvernement.
Selon Al3omk, cette situation a provoqué l’indignation des candidats ayant échoué à cet examen, entraînant des demandes pour une commission d’enquête pour examiner tous les concours supervisés par le ministère et évaluer la responsabilité et les éventuelles sanctions.
Les critiques soulignent un manque de responsabilité et de sérieux de la part du ministre, surtout venant d’un département aussi crucial que celui de la Justice.
En réponse, la Coordination de Casablanca pour les candidats non retenus a émis un communiqué dénonçant l’approche défensive du ministre, qualifiant ses gestions d’examens de “farces mal mises en scène”.
Ils ont également critiqué la manière dont les résultats des concours semblent favoriser certaines personnes malgré un manque de transparence et d’équité, accentuant ainsi la perception de corruption et de favoritisme au sein du ministère.
Les contestataires exigent des clarifications et une reddition des comptes, appelant à un soutien national pour lutter contre les injustices perçues dans la gestion des affaires judiciaires du pays, mettant en avant la nécessité de préserver l’intégrité du secteur.