Selon la ministre qui s’exprimait lors d’une session de questions orales au Parlement, cet accord s’inscrit dans un effort plus large pour renforcer la présence du Maroc en tant que leader international dans le secteur des énergies renouvelables.
Le projet, qui s’appuie sur plus de trois décennies d’engagement du secteur privé et quinze ans de développement dans les énergies renouvelables, vise à établir un lien stratégique entre deux continents et l’océan Atlantique.
Leila Benali a souligné l’importance de forger des partenariats internationaux efficaces. Elle a promu une approche de collaboration bénéfique pour tous, permettant un partage des connaissances et une réduction des coûts comparativement aux énergies fossiles.
L’année précédente, le Maroc avait organisé le troisième Sommet mondial de l’hydrogène vert, soutenu par le roi Mohammed VI et organisé peu après le séisme d’Al Haouz. Ce sommet a été le premier du genre dans une région affectée par une catastrophe naturelle et a mis l’accent sur la réhabilitation des zones touchées par des initiatives énergétiques innovantes, notamment l’électrification rurale.
Parmi les principales recommandations du sommet figuraient la promotion de la recherche scientifique sur l’hydrogène vert et l’évaluation attentive des risques liés à ces projets. La formation continue a également été soulignée comme un pilier essentiel pour le développement du secteur.