Ces séances, au nombre de 130, ont permis de recueillir les avis de divers acteurs de la société civile, notamment des associations, des partis politiques, des centres de recherche, ainsi que des organisations professionnelles et des experts en la matière.
Dans une déclaration accordée à Hespress, Moulay Hassan Daki, procureur général du roi à la Cour de cassation et chef du ministère public, a mis en lumière l’importance de ces séances d’écoute, soulignant leur rôle dans l’élaboration de propositions pour améliorer le Code de la famille.