La CGEM complète ses instances de gouvernance pour le mandat 2023-2026

Le premier Conseil d'administration de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) au titre de la mandature 2023-2026, s’est tenu, lundi, afin de compléter les instances de gouvernance de la confédération.

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Le président et le vice-président de la CGEM, Chaikb Alj et Mehdi Tazi. Crédit: TelQuel

Le Conseil d’administration a ainsi procédé au vote de la résolution portant approbation de la liste des 18 commissions permanentes au titre de ce mandat et de la résolution portant nomination des présidentes et présidents desdites commissions et de MeM, 13ème région de la CGEM, indique un communiqué de la CGEM.

Le Conseil a ensuite voté la nomination des administrateurs aux postes de femmes chefs d’entreprises à savoir Leila Doukkali, présidente de l’AFEM et Amina Figuigui, présidente du Club des femmes administrateurs d’entreprises au Maroc, avant de voter la nomination du médiateur en la personne de Abdelkader Boukhriss.

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Par ailleurs, le Conseil a nommé les membres désignés du Conseil d’administration dans le respect de la parité, fait savoir le communiqué. Il a également approuvé la désignation aux fonctions de vice-présidents, de trésorier et de trésorier adjoint formant le bureau de la CGEM dont la composition est ci-après : Chakib Alj, président, Mehdi Tazi, vice-président général, Said El Hadi, vice-président, Mohamed Fikrat, vice-président, Ghita Lahlou, vice-présidente, Mia Lahlou Filali, vice-présidente, Hakim Marrakchi, vice-président, Lotfi Sekkat, vice-président Saadia Slaoui Bennani, vice-présidente, Nouzha Taariji Marrakchi, trésorière, Abdou Diop, trésorier adjoint.

Le Conseil a enfin procédé à la nomination des membres du Comité des statuts et des membres du Comité des mandats. Le président de la CGEM a saisi l’occasion de cette session du Conseil d’administration pour « faire appel à la mobilisation des administrateurs de la CGEM et à leur capacité à travailler en synergie afin de contribuer, de manière effective, à relever les défis économiques actuels ».

Parmi ces défis, M. Alj a cité « l’accélération de la cadence de l’investissement privé qui doit atteindre les 2/3 contre 1/3 pour l’investissement public ». « Pour cela, nous avons pu identifier les leviers à activer, notamment en termes de financement, de capital humain et de recherche et développement », a-t-il dit.

« Mettons nous dès à présent au travail pour faire avancer nos sujets respectifs et atteindre notre ambition commune à savoir de construire une économie marocaine compétitive, verte, inclusive et innovante. C’est notre devoir ! », a-t-il conclu.

(avec MAP)