CGEM : l’“indécent” donnant-donnant du patronat

Afin d’augmenter une seconde fois le salaire minimum de 5 %, la CGEM exige la flexibilisation du Code du travail et un droit de grève plus limité. Alors que les salariés subissent l’inflation, la crise et la précarité, ce deal est-il éthique ?

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Le président et le vice-président de la CGEM, Chaikb Alj et Mehdi Tazi. Crédit: TelQuel

Nous sommes le 30 avril 2022. La photo de famille est belle et les sourires Colgate. Ce moment célèbre la signature des accords sociaux tripartites entre le gouvernement, les syndicats et l’organisation patronale la plus représentative du pays : la CGEM. Les mines radieuses indiquent une pleine satisfaction. [caption id= »attachment_1766758″…

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