Cette organisation est devenue au service de plusieurs agendas qui n’ont, malheureusement, aucun rapport avec le secteur de la presse dans notre pays », a souligné Mustapha Baitas lors d’un point de presse à l’issue du conseil du gouvernement, en réaction à des questions de journalistes sur le contenu du dernier rapport de RSF.
Le ministre a également précisé que le gouvernement marocain accepte à cœur ouvert toutes les critiques à condition qu’elles soient objectives et constructives.
Une réaction en accord avec la dénonciation de l’Association nationale des médias et des éditeurs (ANME) qui taxait déjà, ce jeudi 4 mai, le rapport de RSF de « fallacieux », tout en mettant en avant un ensemble d’argument qui remettent en question la position de RSF vis-à-vis de la situation de la presse ainsi que la liberté de cette dernière au Maroc.
(Avec MAP)