Le détenu précité n’a jamais été agressé par aucun fonctionnaire de l’établissement pénitentiaire où il purge sa peine et jouit, à l’instar de l’ensemble des détenus, des droits garantis par la loi régissant les prisons”, a relevé la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) dans une mise au point.
“Fidèle à son habitude, Amnesty International véhicule, à chaque fois qu’il s’agit du Royaume du Maroc, des allégations mensongères en colportant la propagande des ennemis de l’intégrité territoriale du royaume et en la transformant en ‘faits’ sans le moindre effort de vérification, notamment en contactant directement l’administration ou encore les institutions nationales concernées par la protection des droits de l’Homme, en violation flagrante des fondements de l’action des droits de l’Homme que cette organisation prétend pratiquer”, déplore la DGAPR.
Pour rappel, les manifestations de Gdeim Izik, qui ont eu lieu entre octobre et novembre 2010, avaient causé la mort de 11 membres des forces auxiliaires marocaines et de 36 membres du Polisario.
(avec MAP)