Younès Ajarraï : “Nous sommes dans la culture du ‘moussem’, pas dans la culture du travail au quotidien”

DR

Smyet bak ?

Sellam.

Smyet mok ?

Rabiaa.

Nimirou d’la carte ?

G31726.

Vous avez dit que “les artistes africains sont trop souvent perçus comme évoluant dans une ‘division inférieure’.” Est-ce aussi le cas pour les auteurs marocains ?

Oui, du moins par rapport à ceux qui sont publiés à l’étranger, en Occident ou dans les pays arabes. La majorité d’entre eux étant plutôt arabophones. Et malheureusement, accéder à la notoriété est quelque chose d’extrêmement difficile pour nos écrivains.

Vous êtes acteur…

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